2020 a été une année difficile pour beaucoup, pour moi plutôt mitigée mais je choisis de retenir que le positif. Des projets ont été lancés, certains ont été réalisés, d’autres sont toujours en cours, avec la conviction d’avoir oser ne faire que des choses qui faisaient sens pour moi.
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2021 est déjà si palpable, une excitation constante de toute l’abondance qui m’attend et que j’ai hâte de vous partager.
Enfin, bon, en ce 1er janvier, je vous présente un texte que j’ai écrit il y a 10 ans. 10 ans déjà. 10 ans seulement. Question de perspectives, c’est vrai, et pourtant, ce texte peut raisonner encore même 10 ans plus tard. Évidemment qu’après 10 ans je l’aurais sûrement écrit différemment, sûrement plus nuancé, sûrement moins cru lol, mais j’espère qu’il fera sens pour vous, quelle que soit l’étape de votre vie actuelle.
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Je vous souhaite une belle et heureuse année 2021 !
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Un réveillon – Un bilan.
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Bilan comme toujours mitigé, bilan d’une année surchargée : Rires- Pleurs, Joies-Peines, Déchirement-Attachement, Espoir-Désespoir, Réussite-Echec, Amour-Haine… On espère toujours vivre le meilleur, éviter le pire. Mais la réalité nous rattrape tout aussi vite. C’est pour cela que je ne souhaite plus rien. Quoique… je me/vous souhaiterai tout de même que mes/vos choix soient encore plus sages que les précédents. Parce que cette p*tain de vie n’est qu’une question de choix les jeunes, choisir d’Aimer ou pas, d’avoir la Foi ou pas, de Pardonner ou pas.
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Ca s’entend partout n’est-ce pas, que la vie n’est qu’une succession de choix, et moi je vous le dis, c’est bien le cas de le dire ! Parole de Lulu, lol. Vous savez, ces choix que l’on croit anodins au départ, tels que tout donner pour sa carrière professionnelle, raconter une histoire à son bout de chou avant d’aller dodo, fréquenter un homme marié, fumer juste cette cigarette-essayer quoi, signer un contrat, appeler une amie, rendre visite à ses grands-parents, mentir à ses proches, passer un semestre à l’étranger, ouvrir ses jambes à droite puis à gauche… (ça y est je m’emporte, pardonnez-moi, je me reprends
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Enfin bref, tous ces choix que l’on CROIT anodins mais qui tôt ou tard reflètent ce que nous sommes, reflètent l’être que nous désirerons devenir, et du bagage spirituel que nous transmettrons à nos enfants.
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Je déteste cette expression ‘Smile now, cry later’ parce qu’elle prouve que la jeunesse actuelle se moque éperdument de son avenir, que les seuls choix que nous avons à faire ne dépendent que de l’instant présent. WRONG. Faire un choix, ce n’est pas se demander si cela est bon pour toi à cet instant précis (normal qil ne sra pa bn pr toi now, le chéri tu laimmeuuhh…
‘ ) mais te demander si demain, de ce choix, tu en seras fier… s’il correspond à tes valeurs… C’est comme cela que l’on devient quelqu’un, que l’on devient soi-même.
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Malheureusement et quoiqu’on en pense, c’est aujourd’hui que nous devons pleurer, aujourd’hui que nous devons faire les choix les plus difficiles parce que demain nous ne pourrons qu’assumer, assumer d’avoir dit oui à un moins que rien, assumer d’avoir mit sa vie familiale de côté pour favoriser sa carrière professionnelle et assumer d’avoir des enfants rebelles parce que l’on n’a pas su leur transmettre les valeurs indispensables pour devenir des hommes et des femmes de valeur, respectueux et dignes.
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Plus les années passent et plus on réalise que certes, les instants de bonheur sont 10 fois plus immenses mais les souffrances deviennent 100 fois plus profondes… pinaiz, j’mettrai bien tout ça sur le dos de l’âge moi… bah ouai… les choses, now, tu les vis à fond. Tchip. Bref. J’parlais de quoi encore… ? Ah oui, des choix. M’enfin, je serai brève pour le coup, mais oui famille-amis, je vous souhaite, certes, la santé parce que sans elle vous ne pouvez pas grand chose, mais je vous souhaite surtout et vraiment… de faire les bons choix. Mine are done.
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