Dans mon dernier article, je vous ai précisé l’essentiel de ce que j’avais retenu du bouquin de Norman Vincent Peale mais il y a quand même quelque chose qui m’avait tracassé pendant un moment après avoir lu ce livre.
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Certes, depuis toute petite, j’ai une capacité à me fixer des objectifs et à les atteindre. Mais pourquoi ces objectifs ont été finalement si peu précis ? Certaines fois si peu ambitieux ?
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Pourquoi il m’était difficile de me dire que je n‘étais pas obligée de désirer QUE ce dont je croyais avoir besoin… ? Et pourquoi je ne me suis pas donnée les moyens de faire plus et d’avoir plus ?
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Un salaire à 2 000e ça devrait suffire non ? Une petite maison avec 3 chambres c’est largement ok si on veut un enfant voire 2 max (chéri ferme ton wéy ) ? Un jardinet suffisamment grand pour y mettre une petite piscine gonflable mais pas trop grand pour ne pas avoir à gérer un tas de plantes à entretenir alors que j’aime çaaa ? Grrrr, mais sérieusement qu’est-ce qui ne va pas hein ?
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Nos limites, souvent conditionnées par notre histoire, notre éducation, nos blessures, notre entourage, nous poussent à faire des choix souvent complètement à côté de ce que notre fort intérieur désire.
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Aujourd’hui avec le peu que j’ai emmagasiné, je m’interdis de rêver moins et de vouloir moins que ce qui me fait vibrer au moment présent. Je m’autorise à VOIR grand, REALISER grand et VIVRE grand. Je refuse dorénavant de me fixer des objectifs à la hauteur de ce que je crois vouloir au lieu de ce que j’aspire à vouloir.
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Je repars donc dans mes rêves et aspirations grandioses lol, et surtout je me donne les moyens pour oser, tester. Si ça marche tant mieux, sinon j’aurais au moins essayé.
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Et toi, que t’es-tu interdit d’avoir ? de faire ? ou d’être ? simplement parce que tu croyais ne pas en avoir besoin (ou pire encore, ne pas le mériter…) ?
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P.S : cette oeuvre est de @couleurs_afro et s’accompagnait de dédicaces dont celle de @grandeurnoire « Ose, réalise, triomphe ».
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